noga | Patrick Bebey

Extraits de presse

Télérama

« Le duo pétillant et jazzy d’une chanteuse helvético-suisse et d’un franco-camerounais ( le fils de Francis Bebey ) qui se donnent la réplique … et s’accompagnent au piano, à la sanza, au xylophone ou à la flûte pygmée…. leur spectacle ( Chanson puzzle ) nous embarque dans un voyage musical sensible et drolatique. TT »

La Terrasse

« A eux deux, ils balaient trois continents, de la Suisse au Cameroun, de la France à Israël. 
Ce joli duo piano-voix et petites percussions alterne les rôles, elle avec une voix claire et enveloppante, une présence solaire et une interprétation ludique, où l’on retrouve la liberté maîtrisée de l’enseignement de Bobby Mc Ferrin ; lui plus flegmatique, doux et contenu, sideman imperturbable mais joueur. Ils jouent de leurs différences sans dissonance, avec de belles voix à la tierce, et une justesse entre modération et grain de folie. Un vrai bonheur.

Longueur d’Ondes

 » On ressort du concert à la fois chamboulé et radieux.  »

«  …Bien loin des clichés de son pays… L’ humour et les thèmes profonds… Rayonne d’ondes 
positives…   »

Les Trois Coups

«  Un duo prometteur…. Tout semble faire musique pour ces deux‑là…   »

Revue-spectacles.com

«  Une pure merveille… quatre-vingt minutes de bonheur que l’on doit à un duo évident  »

Vaucluse Matin

« C’est un duo musical.. Génial ! » Le Coup de Coeur du Festivalier/Avignon

Le Progrès

«  Noga en concert, c’est un moment magique ! Entre son jazzy et musique world, la belle se balade et se rend accessible. Et son don d’émerveillement, elle le partage…   »

Francofans

«  Humanité… Humour… Emotion… Noga, ou quand la Suisse s’éloigne des poncifs…   »

Télérama

«  Le feeling africain de Patrick Bebey… au service d’un jazz coloré où swing et tendresse font la paire… réminiscences pygmées et de sanza des forêts.  »

Libération

«  Patrick Bebey … une fusion inextricable et torride.  »

Le Monde

« Patrick Bebey … des idées neuves, un swing solaire, décontracté et plein d’allant. »

Jazz Magazine

«  Avec Patrick Bebey, l’apparente allégresse de la forme, la profusion des rythmes, le chatoiement des teintes ne dissimulent jamais la gravité du propos… Il faut jouer pour oublier et pour se souvenir, pour tromper l’attente et accomplir l’urgence du présent.  »

Tribune de Genève

«  Un monde de sons qui caressent, qui piquent… Ludique et espiègle.  »